Pauline Grisoni assure le show

Une fois n’est pas coutume, Pauline ne vient pas parler d’échecs mais de bijoux. La journaliste est la créatrice et animatrice de La leçon, le podcast sur l’art d’échouer où elle invite des « personnalités qui cartonnent » à parler de l’un de leurs échecs, professionnel ou non, et de l’enseignement qu’elles en ont tiré. Forte de sa réussite, 2,5 millions d’écoutes ! elle a récemment écrit un premier livre sur le même thème, Fiasco, aux éditions Hugo et Cie. 

De manière similaire à son podcast où elle tente de lever le voile sur l’un des tabous français qu’est l’échec, Pauline essaie de ne pas être mise dans une seule case. Elle qui rêve de jouer la comédie et a déjà eu l’opportunité de monter sur les planches avec La leçon sur scène, enregistré en public, écrit actuellement son premier spectacle de stand up.

Étant donné l’énergie de notre joyeuse et solaire muse du jour, on est sûres qu’elle est seulement à l’aube d’une multitude de nouveaux projets. Et au pire, Pauline saura toujours en tirer… une leçon !

 

 

Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

© Pauline Grisoni

 

 D’ailleurs, cette admiratrice du film Diamants sur canapé nous donne à entendre en riant l’un de ses palliatifs à l’échec : aller admirer les diadèmes Place Vendôme. Par cette activité méditative elle dit retrouver son âme d’enfant et mettre ainsi son chagrin à distance. Pour Pauline, aller regarder les bijoux des joailliers parisiens est presque une tradition familiale : elle se remémore pour nous ses promenades précieuses avec sa mère, où chacune choisissait figurativement ses bijoux préférés dans les vitrines et celles avec son père qui contemplait les montres tandis que Pauline admirait les bijoux. Même si elle aime aussi les pièces contemporaines, elle conserve une inclination pour les bijoux anciens aux montures délicates, en platine par exemple ; vecteurs d’histoire(s) et de transmission.

Découvrez sa sélection intime.

 

 

Aigue-marine

Lorsqu’elle était enfant, Pauline et sa grand-mère avaient pour rituel d’ouvrir ensemble le coffre à bijoux de cette dernière. Du haut de ses neuf ans, la petite-fille émerveillée se paraît des bijoux beaucoup trop grands de sa grand-mère qui de surcroît avait une prédilection pour les bijoux imposants.

Le premier qui lui revient à l’esprit est une bague ornée d’une aigue-marine que son aïeule avait acheté Place Vendôme dans les années 1950 et qui la faisait rêver, exactement comme notre bague cocktail ci-dessous !

 

Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

 

 

Marguerites

Pauline nous confie un secret : elle se prépare mentalement pour son mariage depuis à peu près… ses quatre ans 😄 mais c’est surtout la potentielle bague de fiançailles qui est l’objet de toute son attention.  Alors quand elle repère notre marguerite ornée de diamants, c’est le coup de cœur instantané.

Et puis, la marguerite c’est aussi une histoire de famille : Pauline nous parle de celle de sa mère ornée d’un saphir, « façon Lady Di », quant à elle sa préférence va à l’émeraude, sa pierre de naissance. Mais en grande amatrice de nuances de vert, elle craque également pour notre modèle en jade alliant pierre ornementale et pierres précieuses.

 Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

 

 

Opale

Si Pauline connaissait l’opale, elle a découvert la variété infinie de ses nuances grâce à Galerie Pénélope. Car s’il existe en effet des opales au fond incolore, ce dernier peut aussi être blanc, jaune, orangé – on parle alors d’ « opale de feu » -, rouge, brun, noir, rose, vert, bleu ou encore violet ! Les opales ont en commun ces chatoyants reflets multicolores presque fluorescents. Pauline résume le caractère hypnotique de la pierre de manière poétique : « dans l’opale, il y a toujours quelque chose à regarder ». Ainsi, vous ne vous ennuierez jamais avec notre bague marquise ! Et si vous voulez en savoir plus sur la pierre des natifs d’octobre, l’article dédié est toujours disponible via ce lien.

 Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

 

 

Contes

Pauline aime les contes. A chaque bijou qu’elle touche elle demande à Camille, la fondatrice de Galerie Pénélope, si elle connaît l’histoire personnelle qui se cache derrière. Malheureusement, on ne sait souvent pas grand-chose des précédents propriétaires des parures. Camille peut en revanche parler de la signification, comme par exemple pour ce collier ancien dit « esclavage » dont la lecture est à double sens : il pourrait s’agir d’un vœu de fidélité version patriarcale, où l’homme exprime lui-même le serment de sa femme à travers le collier ; ou bien suggérer l’homme esclave de son amour. C’est cette théorie beaucoup plus romantique que Pauline décidera de retenir ! 😉​ Quant à la bague poison, qui par son nom laisse imaginer les histoires les plus sulfureuses, elle contenait vraisemblablement plus souvent un souvenir – une mèche de cheveux par exemple. Qu’à cela ne tienne, Pauline imagine elle-même le conte derrière notre collier Art Déco en argent et émail : celui d’une jeune femme vêtue d’une petite robe noire et parfumée de Shalimar de Guerlain, sorti en 1925, pour aller danser le charleston !

 

Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

Galerie Penelope Paris Bijoux Anciens

 

 

 

On vous encourage vivement à écouter La leçon via votre plateforme de podcasts favorite, quand à Fiasco, il est disponible dans toutes les bonnes librairies.

Enfin, pour ne rien manquer de l’actualité de Pauline, suivez-là sur Instagram !

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